Hot Shot : mets tes baskets...
....et viens faire quelques paniers!!!
J'aime le sport !
Bon, je te l'accorde, de prime abord, ça ne se voit pas spécialement... Mais j'aime vraiment le sport. Plus précisément, j'aime l'ambiance qu'il y a dans le sport (non, je ne parle pas des gens qui se tapent dessus parce qu'ils sont supporters adverses), j'aime l'esprit d'équipe, j'aime le dépassement de soi, j'aime les athlètes en sueurs, et tout et tout !
Attention, le sport féminin j'aime pas ! Pas parce qu'il y a une absence d'abdo, de pectoraux et tout et tout...quoi que, si en fait (^_^).
Je n'aime pas le sport féminin parce qu'en général, il n'y a pas le même esprit d'équipe, il manque de testostérone et que la fille par définition est faite pour le crêpage de chignon et moi, je trouve ça beaucoup moins drôle !
Bon je devrais dire que j'aime les sports collectifs... mais pas seulement : les arts martiaux c'est très bien aussi (^_^)
Et comme j'aime beaucoup, beaucoup les drama, j'aime encore plus les drama qui ont pour thème central le sport! (mais là encore, un drama sportif sur une équipe de volley féminin, ça me tente moins).
En plus, ça a un impact positif sur moi : dès que j'en regarde un, j'ai envie de me (re)mettre au sport ! (ou comment dire que je suis facilement influençable...bref).
J'ai adoré Hanazakari No Kimitachi E. Déjà, j'aime bien l'athlétisme, ensuite il y avait une pléiade de Bisho et enfin c'était marrant ! J'ai bien aimé 1 pound no fukuin. Déjà, j'aime beaucoup la boxe (même si on en voit très peu en définitive), ensuite il y avait Kame (et réussir à nous faire croire que Kame peut interpréter un boxeur, c'est un tour de magie exceptionnel) et enfin c'était à hurler de rire ! J'ai adoré Regatta. Déjà c'était avec Hayami Mokomichi (et accessoirement Matsuda Shota), ensuite c'était sur l'aviron (et je sais pas pourquoi mais j'ai adoré), et enfin il y a, dans ce drama, LA scène que je trouve la plus belle, qui m'a marqué et chamboulsifié. J'ai surkiffé Tumbling. Déjà, ça m'a fait découvrir une discipline que je connaissais peu, que je ne pensais pas masculine : la gymnastique rythmique et sportive (Tumbling). Ensuite, il y avait (rho la la trop de chouchous) Yamamoto Yuusuke, Seto Koji, Daito Shunsuke et Miura Shohei! Et enfin, il y a des scènes qui m'ont marqué pour longtemps, très longtemps. Il y a une belle histoire, ça bastonne relativement souvent et c'est plein de beaux sentiments comme j'aime... et accessoirement j'ai beaucoup ris aussi (^_^) J'ai aussi adoré les films FireBall, Le plus beau des combats, Million dollar baby ou encore Invictus !
Bon je ne peux pas dire si j'ai aimé ou pas Buzzer Beat, étant donné que je n'ai regardé que le 1er quart d'heure du drama! Eh! Bien oui! J'ai fait une overdose de Yamashita à ce moment! Je venais d'enchaîner Code Blue I, Code Blue II, Proposal Daisakusen et je ne sais plus quel autre drama avec notre ami johnnysien et j'ai craqué, je l'ai vu une minute et demi à l'écran : il m'a gonflé !
Pourtant j'étais restée là-dessus...
Mais sa tronche de dépressif chronique a eu raison de mes meilleurs fantasmes ! J'ai décroché, pas fière de moi !
En plus, comble de mon désespoir, je n'aime pas sa camarade de jeu et pauvre d'elle, elle interprète une violoniste et là dans ma tête ça a fait : violon = Orange Days (très bon drama certes) = Kou Shibasaki = "hou lààààà je peux pas !!!!!"
Peut-être m'y remettrai-je un jour...
Bon et puis il faut dire aussi que le Basket c'est vraiment pas le sport que je suis avec intérêt. Déjà au départ, je suis complètement hermétique à ses règles du jeu. Je n'y comprends rien et je n'ai même pas envie de me pencher sur la question. Que veux-tu c'est probablement un reste de mon traumatisme d'enfant, lorsqu'avec mon frère nous jouions au 21 et que lui avait choisi d'être Michael Jordan et que moi je n'avais que le droit d'être Magic Jonhson ! Je sais pas si t'imagine!?
Traumatisme qui s'est poursuivi au lycée où j'avais choisi de faire "Volley, badminton et athlétisme (saut de haie, saut en longueur et en hauteur)" et où je me suis retrouvée dans le groupe de ceux qui faisaient "Basket, ping-pong et course d'orientation" (des sports dans lesquels j'excelle c'est bien connu... avec une moyenne à l'année qui frisait le 5/20!)...
Et là, j'avais envie d'entendre du chinois et je tombe par hasard (comme toujours) sur un drama Taiwanais avec des tas de gens que je ne connais pas et au moins deux ou trois que je connais ! Bon c'est sur le Basket... ah... aller, on peut tenter l'affaire !
C'est donc ainsi que j'ai décidé de regarder HOT SHOT. Au bout du 1er quart d'heure, j'ai franchement eu peur : Oh me*de ! Ne me dis pas que c'est un make/remake de Buzzer Beat ! C'est quoi cette tronche de dépressif qu'il a le gaillard ? Pu*ain on dirait Yamashita !!! Elle est où la violoniste ! Si, si, Y'a forcément une greluche qui va venir nous foutre la misère là-dedans... Et euh... J'ai surmonté ces premières minutes de stress intense et j'ai bien fait ! Parce que rien à voir ! (bon en même temps, je ne peux pas savoir avec certitude puisque je n'ai pas vu BB). Bon il faut quand même réussir à ingurgiter les 2 premiers épisodes...
Mais alors HOT SHOT c'est quoi ?
Déjà HOT SHOT, ça commence avec ça et... ça vaut le coup (^_^)
OST opening by Show Luo :
HOT SHOT, L'histoire
Dong Fang Xiang est une star du Basket. Il est dans la meilleure université, dans la meilleure équipe et il vient d'une famille bourrée de pognon. Mais il n'est pas heureux pour autant et n'a pas spécialement envie de jouer.
Yuan Da Ying vit dans un petit village avec sa grand-mère. Il rêve de pouvoir jouer au Basket, mais cette dernière est formellement contre et le poursuit constamment pour l'empêcher de jouer.
Pour des raisons différentes, ils vont se retrouver dans la même université, PiLi, qui possède la pire équipe de Basket du pays. Dong Fang Xiang, refuse catégoriquement de jouer au Basket, tandis que Da Ying fera tout pour y jouer. Mais pour cela, il faut remonter le club de Basket. Da Ying réussit à retrouver les 3 joueurs qui restent dans l'équipe de PiLi. Mais il leur manque quelqu'un pour que le directeur de l'université accepte la réouverture du club. Et la seule possibilité est de convaincre Dong Fang Xiang de les rejoindre.
HOT SHOT, le casting
Dong Fang Xiang est interprêté par Jerry Yan. En surface, il a l'air un peu fade, mais il est bien plus intéressant que ça. Heureusement, sinon ça aurait été un peu long quand même. Il fallait penser au (télé)spectateur de base (dont j'avoue fièrement faire partie). Il est charismatique et impressionnant : c'est un super bon joueur de basket, il fait des coups de malades (que tout le monde aimerait pouvoir faire), des slams dunk plus que stupéfiants... Bref la star parfaite. Admiré et craint par tous... ou presque, il a tendance à être imbu de lui-même (ou en tous cas, c'est l'impression qu'il donne). Mais il n'est pas heureux pour autant et cherche par tous les moyens à ne pas jouer au basket. C'est une des raisons pour lesquelles il décide d'être transféré à l'université de PiLi.
En fait, le gaillard nous fait une bonne petite crise existentielle!
J'ai découvert Jerry Yan avec ce rôle donc je n'ai pas de point de comparaison, mais j'ai trouvé qu'il jouait bien ce rôle du mec star presque malgré lui, qui est en questionnement face à son nombril (à mi-temps, parce que c'est un sportif donc il ne réfléchit quand même pas pendant des lustres quoi) et qui se débat pour échapper au contrôle des autres. En plus, il a des relations familiales bizarres ce qui n'arrange pas les choses. Mais c'est le lot des gens riches, en tous cas dans les drama.
Dong Fang Xiang a un rapport particulier d'attraction/répulsion avec Da Ying : Il est intrigué par ce joueur original.
Yuan Da Ying (Show Luo) est exceptionnel comme personnage. Il m'a fait littéralement mourir de rire ! Dès le départ j'ai été à fond dérrière lui.
Il aime le basket. Plus que ça, c'est son unique passion, sa raison de vivre. Problème : sa grand-mère lui interdit formellement de toucher une balle et elle le poursuit, apparaissant comme par magie pour lui coller des raclées dès qu'il regarde un ballon d'un peu trop près. A croire que la mamie a un radar de détection!
Show Luo a un jeu d'acteur exceptionnel., il m'a bluffé! Il est capable d'être tour à tour drôle, émouvant, sérieux, amusant, ridicule... Il m'a parfois fait penser à un Jim Carrey qui n'en ferait pas des tonnes, qui serait frais et amusant ! Il joue avec tout son corps, tout son visage pour faire passer les émotions. Et ça a le mérite de nous faire croire au personnage, à son histoire. On y croit quand il fait le pitre, on y croit quand il veut gagner, on y croit quand il est triste, on y croit quand il défend ses camarades...
Arrivé à l'université PiLi, Da Ying a une occasion en or de réaliser son rêve : jouer au basket et montrer à tout le monde quel joueur extraordinaire il est. Enfin, il croit être. Parce que de prime abord c'est pas ce qu'on remarque (un peu comme moi et le sport ^_^). Mais, c'est un joueur qui a un potentiel énorme. Et il a l'innocence des débutants et le positivisme des idéalistes.
Sa rencontre avec Li Ying va être décisive pour la réalisation de son rêve.
W, la coach (ou Li Ying) est intérprêtée par Coco Chiang. Li Ying est la fille du directeur de l'université de PiLi. Elle revient des USA, où elle avait un poste de consultante à la NBA. Elle a un doctorat en sciences du sport et une capacité à repérer et exploiter le potentiel des joueurs qui lui a valu sa renommée au sein de la NBA, où elle est connu sous le nom de "W" (pour Win qui signifie "gagner", tout comme son nom "Ying"). Il y a une intrigue sur son passé amoureux (raison pour laquelle, elle est revenue à Taiwan), un peu alambiquée et finalement sans réel intérêt, mais qui cache quelque chose de bien plus important.
W remarque le potentiel de Da Ying et décide de devenir le coach de l'équipe de PiLi. Son père y est opposé. Mais c'est bien connu une fille fait toujours ce qu'elle veut!
C'est le personnage unificateur. Elle a un rôle important à mener tout au long de l'histoire. Personnage attachant, W sait se montrer forte (elle est coach quand même), tout en ayant ses faiblesses : elle souffre d'asthme. Attends, t'imagines bien qu'une nana qui est non seulement belle, avec une affiche de mannequin, un sourire resplendissant et qui en plus est intelligente, respectée dans son domaine, ne pouvait pas être totalement parfaite. Il fallait rassurer les milliers de nanas qui ont regardé ce drama, dépitées parce qu'elles n'avaient pas tous ses talents.
Elle a un rapport très fort avec Da Ying : tantôt je prends soin de toi, tantôt je t'explose littéralement la tête. Ce qui rends les scènes entre les deux toujours hautes en couleurs.
C'est très bien joué de la part de Coco Chiang, qui donne vie à son personnage et surmonte les quelques faiblesses du scénario (histoire de coeur, excuse du retour).
Et voilà l'arrivée de Cruchette N°1 (j'emprunte cette expression à Maaya) :
Zhan Ji Er (Zhou Cai Shi). Elle est le personnage féminin de base... Ben oui, il en fallait au moins un (bon tu vas me dire que W, c'est aussi un personnage féminin. Mais comme c'est un personnage qui a un peu plus d'importance que tomber amoureuse d'un des protagonistes, je ne la compte pas vraiment comme personnage féminin de base). Pas de grande romance avec elle. Enfin si, mais disons que la romance ne pourrit pas tout le drama et c'est appréciable!
Le personnage est intéressant, si on dépasse le rôle banal de la fille typique de l'intrigue secondaire, style triangles amoureux.
En effet, elle est proche de Dong Fang Xiang, avec qui elle a grandit. (c'est la fille du chauffeur du grand-père...de l'oncle du cousin au 37e degré du seigneur du dit seigneur) Elle s'amuse à l'appeler "jeune maître" pour le faire enrager, mais on comprend rapidement qu'elle n'est pas si cruchette (j'aime cette expression^_^) que ça. Elle rencontre Da Ying, qui voit en elle l'image de son amie d'enfance GuGuJi (j'aimerai qu'on m'explique où??!!) et avec qui elle va lier une amitié sincère... et plus si affinité : bref le principe du bon vieux triangle amoureux de base !
J'ai trouvé le jeu de Zhou Cai Zhi inintéressant et plat à bien des moments. Elle n'est pas transcendante. Sa tête ne me revient pas vraiment. Elle est sympathique mais sans plus.
Wu Ji Zun (Wu Chun) et Wu Ji Wei (George Hu), les deux observateurs. C'est comme ça qu'on les découvre. On se sait pas qui ils sont avant au moins la moitié du drama, voire la fin. Ce sont des personnages secondaires qui mettent parfaitement en valeur les personnages principaux : Dong Fang Xiang et Da Ying.
Ils sont tous deux joueurs de basket et tente de percer les secrets de l'équipe de PiLi. Sympathiques mais mystérieux. Un peu comme superman mais avec un côté sombre. On ne sait pas trop sur quel pied danser avec eux. Dès que l'un des deux protagonistes principaux a besoin d'aide, comme par magie les voilà qui débarquent. Ils ont plus de gadgets que l'inspecteur Batman et sont toujours armés d'appareil photo, de caméra, de motos etc...
Wu Ju Wei à l'air plus jeune et plus franc dans ses intentions, que Wu Ji Zun.
Malgré des rôles aux actions impressionnantes (j'adore les voir s'entrainer à reproduire les gestes techniques de DFX), on ne peut pas dire que le jeu de Wu Chun ou celui de George Hu soit capital dans ce drama. Ces deux personnages sont inconsistants. Ils ne servent que de faire valoir alors que les autres personnages secondaires ont tous une vraie histoire.
Le personnage mystérieux : Qiu Kui. Il s'agit probablement de mon personnage préféré.
On ne sait pas qui il est... Au fil des épisodes, on apprend que Qiu Kui est LE maître du basket de rue. C'est une star dans son domaine, le meilleur. Il est respecté par tous. C'est le Roi!
Il est lié à Dong Fang Xiang et joue régulièrement avec lui, la nuit, sur des terrains déserts et accessoirement délabrés.
Il ne parle pas et communique avec ses camarades de jeu par signes. On ne sait pas trop s'il tente dépasser Dong Fang Xiang ou bien de le faire se surpasser lui-même.
Personnage charismatique et intriguant, je l'ai remarqué dès le début. Tout le mystère qui l'entoure fait qu'on s'intéresse immédiatement à lui et qu'on a envie d'en savoir plus. Il n'apparait qu'épisodiquement et chaque fois c'est pour venir en aide, de façon plus ou moins claire, à Dong Fang Xiang ou pour apporter des indices sur l'histoire. Jusqu'au bout, le mystère sur sa véritable identité est bien gardé et heureusement !
Can (Michael Zhang) est mon 2e personnage préféré. Il arrive à je ne sais plus quel épisode. Mais dès que je l'ai remarqué, j'ai craqué. C'est le genre de personnage que j'adore. Il n'a même pas un bon fond!
C'est LE personnage du bad boy, haineux et violent. Outre le maquillage (qui claque!) il a une caractéristique physique qui interpelle. Il est classe et surprenant. En plus, ce personnage a une réelle dimension : il n'est pas seulement là pour faire joli. Enfin, si mais non...
Il a des interactions avec Qiu Kui, Da Ying et Dong Fang Xiang. Et à chaque fois, ses apparitions se font remarquer. Il est là pour faire mal et il le fait bien. Il pousse vraiment les autres dans leurs retranchements.
Intéressant par sa complexité, son passé et son envie de vengeance, il sait parfaitement être détestable. Comme pour les précédents personnages secondaires, il y a une touche de mystère sur son passé et son rapport à Dong Fang Xiang.
Michael Zhang est déroutant tant on croit à son personnage. Il arrive à avoir cette espèce d'aura maléfique autour du lui : du grand art! Je suis certaine qu'au départ c'est un chic type, mais pour moi il est fait pour être le vilain de l'histoire. Même lorsqu'il sourit, il réussit à paraître inquiétant. J'adore, j'adore, j'adore!!!!
HOT SHOT, ce que j'en pense
Soyons honnêtes : il faut quand même avoir le courage de dépasser les 2 premiers épisodes, qui font quand même 1h30 chacun! Et franchement c'est long. Surtout si tu as l'impression, les premières secondes de voir un remake de Yamashita (^_^)
Au départ, la première demie-heure, je me suis demandée où je tombais. On passe de Da Ying à Dong Fang Xiang, alternativement, d'une séquence à l'autre. Et si le but est le comparatif entre les deux héros d'entrée de jeu, moi, j'étais vaguement paumée !
Mais rapidement, on tombe sous le charme des personnages. Les situations sont souvent comiques, parfois émouvantes. Elles marquent toujours avec plus ou moins de justesse.
De plus, les scènes d'actions ont l'air d'être tout droit sorti d'un manga, tant elles paraissent invraisemblables et extraordinaires (à côté de ça, Olive et Tom, avec leur terrain de foot grand comme le continent asiatique et leur saut à 10m de hauteur, peuvent aller se rhabiller)! C'est complètement hallucinant mais ça fonctionne. Ça renforce le côté comique des scènes et ça donne une relative classe, aux séquences d'action. Le tout accompagné d'une bonne musique : ça le fait grave! 
Show Luo a une tendance au ridicule qui dépasse l'entendement. Il oscille allègrement entre la drôlerie limite débile et le sérieux très touchant. Son personnage est un peu comme Nicky Larson : c'est le type sérieux qui a un vrai but honorable, mais il est toujours en train de faire l'âne, même aux moments les plus tendus (^v^)!
Les personnages sont réellement bien interprétés, si on zappe la tendance à la mono-expressivité de Jerry Yan (qui rappelle Yamashita n'est-ce pas) et qui, du coup, rend parfois son personnage sans profondeur réelle.
Les personnages secondaires sont bien mis en valeur et ils ont chacun une histoire, développée avec plus ou moins de succès. Les relations qu'ils ont avec les autres protagonistes ont une réelle utilité. Si on zappe l'inconsistance des rôles de George Hu (quel dommage) et de Wu Chun (qui par moment nous fait du Yamashita bis), même s'ils ont une bonne participation aux scènes d'action et qu'ils sont d'excellents éléments qui valorisent parfaitement les héros : Dong Fang Xiang et Da Ying!
J'ai eu un réel plaisir à regarder un drama où la romance ne prend pas le dessus, où elle reste vraiment une intrigue secondaire. 
Parce que le plus important c'est la relation entre les joueurs, tous ces bons sentiments que le sport développe, l'évolution de l'équipe de PiLi, la progression de chacun vers leur but ultime etc... Et ça, ça m'a vraiment plu.
Evidemment, il y a un point négatif sur lequel je ne peux pas faire l'impasse, mais sur lequel je ne peux pas trop en dire, sous peine de dévoiler un truc trop important : Qiu Kui! Alors c'est le personnage que j'ai le plus kiffé, jusqu'à ce qu'on découvre son identité et là d'un coup, ça m'a paru beaucoup moins bien. (T.T) Une grosse déception dû au jeu d'acteur!
Le dernier épisode, entre autre, m'a marqué. Il est bien fait, l'histoire tient la route jusqu'au bout et on a droit à de magnifiques séquences. Même si la fin manque, selon moi, du petit quelque chose qui la rend inoubliable et totalement réussie.
Ce drama m'a donc fait rire du début à la fin! J'ai vraiment adoré tous les épisodes et je ne me suis pas ennuyée à un seul instant. Le fait qu'il y ait tant de personnages, tant d'histoires qui ne prennent pas le pas sur l'intrigue centrale, m'a vraiment plu. J'ai trouvé les protagonistes secondaires absolument passionnants !
En définitive : un très très bon drama ! Et ce, même si on n'aime pas ou ne connait rien au Basket !!! (^_^)
HOT SHOT, L'OST qui déchire son slip
SUPERMAN by NESE :
Il existe au moins 3 versions de ce PV. Et franchement j'adore (^_^)
U Got Me by NESE :
Il existe deux versions de ce titre : une chinoise et une anglaise.
Personnellement, je préfère la 1ère version (^_^)
/https%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Fcedistic%2Fcamera.png)
/http%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F12%2F32%2F743955%2F83314324_o.jpg)
/http%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F22%2F80%2F743955%2F82908413_o.jpg)
/http%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F31%2F31%2F743955%2F82394922_p.gif)